C’est un cadeau qui m’a surpris du père Noël une séance de pilotage d’avion ! Un cadeau qui m’a été fait par mon épouse (qui n’est jamais en reste pour trouver des idées étranges) que j’étais impatient d’essayer. Deux jours après Noël, j’ai appelé pour réserver une date ! Après une première annulation en raison de la météo, il y a quelques jours, je suis parti à l’aérodrome avec mon beau-père pour m’envoyer en l’air. Nous avons rencontré Jérémy, un pilote de longue date. Il nous a donné un petit court théorique, nous nous sommes approchés de l’appareil et j’ai pris place côté pilote. Comme l’avion disposait de quatre places, ce qui fait que beau-papa a pu assister à mes débuts de pilote en tant que passagers. J’étais certain que mon formateur devait gérer le décollage et l’atterrissage, deux phases les plus complexes. Mais en fait, voyant que je n’étais pas nerveux, il a décidé que je pouvais m’en sortir seul. Ce n’était pas vraiment dangereux, étant donné que notre avion était destiné à la formation : les commandes étaient donc doublées. Thomas pouvait ainsi intervenir au moindre problème. La partie décollage a été assez facile, en définitive. Lorsu’on a atteint une certaine vitesse, il suffit de tirer doucement sur le manche, et direction le ciel. Et une fois là-haut, même un enfant de 4 ans pourrait piloter. Les petits appareils s’avèrent infiniment une excellente maniabilité. D’une certaine manière, j’ai même trouvé ça plus facile à piloter ! Là-haut, il faut prendre en compte une nouvelle dimension, mais dans le même temps, il n’y a pas d’obstacle ni de circulation. En fait, on peut obtenir son PPL avant même d’être en âge pour le permis B ! Si vous êtes intéressé par LINK, veuillez consulter notre site Web. Cela dit, piloter exige de rester concentré à tout moment. Si l’appareil est maniable, ne fait pas le poids d’un Airbus : le moindre souffle de vent suffit à le faire osciller en tous sens. Il est donc indispensable de rattraper le coup avec le manche. Mais bon, ce n’est pas bien compliqué. Le seul moment un peu délicat, au final, a été l’atterrissage. Mais même là, Yannick s’est vu obligé de corriger notre vitesse d’approche. Mais en dehors de ça, j’ai vraiment été seul aux commandes de A à Z. Cette petite initiation au pilotage d’avion. Et au-dessus de cette campagne, la vue est en plus ravissante. Chapeau bas pour ce cadeau très singulier, en tout cas !